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À la une : la reconstruction de 157 hectares de forêt au Guatemala

La guerre au Moyen-Orient

Trois articles sont à la une du quotidien du Vatican : deux sont dédiés à la guerre et à la situation au Moyen-Orient et le troisième – à l’environnement.

La prière du pape François pour « les personnes qui souffrent de la guerre », à l’audience générale de ce mercredi, est au cœur de l’article « La paix juste pour le Moyen-Orient ». « Que le Seigneur nous conduise vers une paix juste, souhaite le pontife. Tant de personnes souffrent: les enfants souffrent, les malades et les personnes âgées souffrent et de nombreux jeunes meurent. »

Dans un article intitulé « Le G7 relance la solution de deux États », il est question d’un accord auquel sont parvenus les ministres des Affaires étrangères du G7, réunis à Tokyo. C’est une déclaration commune sur le conflit du Moyen-Orient, dans laquelle ils se sont déclarés « plus unis que jamais dans la poursuite de la paix, de la sécurité et de la prospérité internationales ». « Nous condamnons sans équivoque les attaques terroristes du Hamas et d’autres à travers Israël qui ont commencé le 7 octobre 2023 », écrivent-ils, « ainsi que les attaques de missiles en cours contre Israël ». En outre, les ministres réaffirment le droit de Tel-Aviv à défendre le pays et « son peuple conformément au droit international pour tenter d’empêcher que cela ne se reproduise », ajoutant plus tard une note sur la « libération immédiate de tous les otages sans conditions préalables ». En revanche, ils condamnent « l’augmentation des violences extrémistes commises par les colons contre les Palestiniens » comme « inacceptable ». Appuyant le projet d’une « solution à deux États, qui envisage Israël et un État palestinien vivant côte à côte dans la paix, la sécurité et la reconnaissance mutuelle », les ministres des Affaires étrangères du G7 soulignent que cela « reste la seule voie vers une paix juste, durable et sûre ».

Un article « Une collaboration vertueuse » parle de la région de La Colora-da, au cœur de la réserve de biosphère maya au Guatemala, ou la foresterie a augmenté de 20 à 33 % ces vingt dernières années. Les forêts ont été détruites par le trafic de bois, les incendies et surtout par la création de pâturages pour l’élevage illégal, mais aujourd’hui la tendance a été renversée grâce à la collaboration entre les autorités, les communautés locales et les ONG, comme la Wildlife Conservation Society (WCS) qui mène depuis 2009 un travail de sensibilisation à la protection du territoire.

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